Séance n°23 : La fin de Gabor le Bulgare - La descente dans Kaymakli
Vampire Dark Ages à Jérusalem :: Campagne "Les oubliés" (terminée) : le récit de nos différentes parties.
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Séance n°23 : La fin de Gabor le Bulgare - La descente dans Kaymakli
Partie du 29 mars 2013
Présents : Cyril, Franky
Points d'expérience : 4 + 3
Date de début de partie : 10 février 1198
Date de fin : 9 mars 1198
Les PJs découvrent donc que :
- le Toréador Yevguen est mort (en appelant son fantôme - ce qui a permis de savoir qu'il est mort en sortant de la maison close de la Sétite Saphora)
- le Nosfératu Humbert a quitté la ville (il a visiblement fui les conflits qui s'annoncent)
- la Ravnos Guéralda est morte (d'après son fantôme elle a été emportée dans les airs par une créature aux ailes membraneuses).
Le prince leur annonce que son conseiller Zarak a également disparu. Il leur annonce également qu'il a eu des informations comme quoi Gabor le Bulgare serait parti de Constantinople voici quelques semaines, sans armée. Husayn al Fatin se serait-il trompé ? Mais bon, il peut toujours s'en constituer une assez rapidement ...
Lucinda essaye de contacter le fantôme de Zarak, en vain. Il n'a donc pas été détruit et est donc sans doutes détenu quelque part.
En allant enquêter chez lui ils découvrent dans sa cours un de ses bracelets (sur lequel Orphée peut lire la terreur), ainsi qu'un morceau de tissu (qu'Orphée identifie comme ayant appartenu à un des membres de la communauté des Bogomiles).
Au sein de son refuge ils découvrent également le brouillon d'une lettre ayant été rédigé par Zarak où il demande à Gabor de venir reprendre la ville et où il décrit les emplacements des refuges de plusieurs de ses membres éminents dont le prince et Béla Rusenko. Il s’apprêtait donc à livrer Sredets à son ancien prince.
Ils font leur rapport au prince qui les autorise à poursuivre leur enquête chez les Bogomiles, mais avec beaucoup de tact.
Ils rencontrent donc de nouveau Amalia de Thrace qui confirme la destruction de Yevguen qui n'a visiblement pas été sincère lorsqu'il fut amené devant elle et à qui il fut demandé de confesser ses pêchers. Il s'agissait, d'après ce qu'ils en apprennent, d'un être d'une extrême perversion.
Par contre elle n'a rien à voir avec la destruction de Guéralda ou la disparition de Zarak contre lesquels les Bogomiles n'ont pas d'éléments à charge et n'ont donc aucune raison de leur faire rencontrer la lumière et de délivrer leurs âmes.
Les PJs vont ensuite poursuivre leur enquête auprès des Furores à l'auberge des lames croisées. Les Furores leur annoncent qu'un autre des leurs à disparu : Sergueï, l'infant d'un voïvode Tzimisce qui a trouvé refuge à Sredets voici quelques années déjà. Lucinda essaye donc de contacter son fantôme, en vain. Ektor leur indique le refuge où il dort, un vieux moulin abandonné.
Sur place ils découvrent des cendres que la pluie a fait ruisseler d'une toiture. Orphée voit alors Sergueï emporté sur une toiture par une gargouille qui ensuite le diablerise (voilà pourquoi Lucinda n'est pas parvenue à contacter son fantôme). Les Tremeres, via Archenor, seraient-ils dans le coup ?
Alors qu'ils vont rendre compte de ces nouveaux éléments au prince Basilio, les PJs reçoivent deux nouveaux témoignages :
- Ilya, la Malkavienne, leur annonce qu'un de ses petits protégés a apperçu une telle créature ailée récemment
- Iulia, la Toréador harpiste, leur annonce qu'elle a également vu récemment une telle créature ailée, un démon d'après elle, qui se dirigeait vers le quartier juif (là où Archenor possède son refuge).
Le prince les autorise à aller interroger Archénor, avec là encore une fois beaucoup de tact, car il a peu d'alliés avec les troubles que Sredets connaît, et les Tremeres ne sont pas de trop.
Archénor les reçoit et admet les faits, félicitant les PJs pour leur intelligence. Il se justifie, en disant que Zarak était un traître, et que Sergueï était un espion de son Voïvode de sire. La destruction de Guéralda fut quand à elle un accident (elle avait découvert des choses qui l'ont mise dans l'embarras).
Archénor trouve donc un arrangement avec les PJs. Il fait venir un de ses apprentis qu'il accable de pratiques démoniaque tout en le transperçant de sa lame enflammée, puis il indique aux PJs où trouver la gargouille incriminée qu'ils détruisent aussi sec. Archénor a désormais une lourde dette envers les PJs.
Les PJs vont faire leur compte rendu au prince qui est plutôt soulagé que ce ne soit que l'acte d'un Tremere isolé et égaré, et non pas le fait d'Archénor qui est le représentant de son clan à Sredets.
C'est à ce moment là que Gabor le Bulgare, les deux Voïvodes Solimon Zagorov et Boleslaus Bratovitch, ainsi que quatre szlachtas font leur entrée dans le repaire du prince.
Le combat est rapide. Les PJs et Bela Rusenko parviennent à se débarrasser des deux Voïvodes et des quatre Szlachtas et Basilio finit par immobiliser Gabor dans ses tentacules d'ombres avant de le décapiter promptement.
Dehors des combats ont lieu. Ce sont les armées sécessionnistes qui essayent de prendre la ville. Les combats dureront trois jours et trois nuits durant lesquels les PJs prendront part à la bataille et aideront le prince Basilio, Béla Rusenko et quelques vampires de la cour à faire en sorte que la ville ne tombe pas. Ils y parviendront, et la ville de Sredets demeurera dans le giron de l'empire Byzantin.
Le prince remercie les PJs pour le travail effectué. Ils seront bien évidemment toujours les bienvenus à Sredets.
C'est alors que Nestor Giovanni leur indique qu'il possède une piste. Il leur explique qu'un certains Bartholomew, membre d'une lignée Lasombra et ami du clan Cappadocien (par l'intermédiaire de la branche des Giovannis) aurait en sa possession une relique : le sang de Zeernebooch, une divinité de la mort des pays germaniques.
Il leur dit également que celui-ci aurait disparu il y a 10 ans de celà alors qu'il faisait des recherches pour le compte des Giovannis dans les alentours de la ville de Provadia (en Bulgarie justement) à à peine 4 nuits de cheval de Sredets. C'est évidemment en plein cœur des pays Voïvodes, avec au nord la frontière la tristement célèbre Roumanie.
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Le voyage se passe sans encombres. Sur place ils sont confrontés à un Gangrel qui leur annonce que son maître, le Voïvode Luben Strahil les attend.
Celui-ci leur dit que Bartholomew avait passé outre son interdiction d'effectuer des fouilles sur son domaine et qu'il l'a donc punis. Il l'a transformé en statue.
Il autorise Lucinda à utiliser la Vicissitude pour lui redonner une forme normale. Il rajoute que les vents venus de l'ouest lui ont parlé d'elle. Il apprécie donc sa maîtrise de l'artisanat de la chair.
Bartholomew se révèle être en fait un Kyasid (sa blancheur en a fait un excellent matériau pour la créativité de Luben Strahil). Rendu un peu fou par l'expérience, Orphée utilise son Aliénation pour l'aider à rendre ses propos compréhensibles.
Il dit ne plus détenir le sang de Zeernebooch (il l'a cédé à son sire Marconius), mais que si les PJs le libèrent de l'emprise du Voïvode il peut leur indiquer où trouver une substance comparable à la relique.
Luben Strahil accepte de le laisser partir, non sans regret (c'était une oeuvre unique dans sa collection), en échange d'une dette d'Orphée et de Lucinda. Bartholomew acquiert donc une dette de vie envers les PJs.
Barholomew conduit donc les PJs jusqu'à Constantinople où ils passent une nuit de repos, puis jusque dans les environs de Césarée en Cappadoce (sur leur chemin ils croiseront une patrouille byzantine, puis une seljoukide, avec laquelle ils auront une petite altercation).
Barholomew leur explique qu'il devait à l'origine venir faire des recherches dans une ancienne cité souterraine nommée Kaymakli mais qu'il n'en a pas eu le temps, sont périple s'étant arrêté sur les terres d'un artiste Voïvode ...
La ville est tristement connue par les Cappadociens pour avoir été le tombeau de plusieurs milliers d'entre eux, jugés indignes par Cappadocius d'appartenir à son clan.
Il les y aurait enfermé, les laissant s’entre-dévorer, en scellant le lieu par une malédiction interdisant à tout vampire d'en sortir et à tout humain d'y entrer.
Batholomew dit qu'il pense avoir trouvé un souterrain qui leur permettra de ressortir de Kaymakli, un long souterrain de plus de 8 kms de long qui relirait Kaymakli à une autre ville souterraine voisine : Derinkuyu.
Ils poussent donc la lourde pierre ronde qui obstrue l'entrée de Kaymakli et qui se referme peu après leur passage.
En s'enfonçant dans les niveaux de la ville souterraine (qui comportait même une église - ce fut un lieu de refuge pour les premier chrétiens), ils découvrent des tas de poussière, des ossements et des corps momifiés de vampires qui ont succombé aux crocs de leurs frères de clan. Il y a également de nombreux fantômes, eux aussi piégés dans Kaymakli.
Les PJs découvrent également une crâne dans lequel s'est réfugié l'esprit d'un Cappadocien avant sa destruction.
Il leur demande de le sortir de Kaymakli en échange d'une information : dans les profondeurs de Kaymakli se trouve un esprit de colère, formé par les âmes de centaines de ses anciens frères de clan. Il pense qu'une fois cette créature détruite, les PJs pourraient en extraire ce qu'ils recherchent (et en plus cela détruirait cette horreur et rendrait sans doutes le repos à toutes ces âmes condamnées par Cappadocius).
Effectivement, tout en bas de Kaymakli ils découvrent une grotte en partie inondée dans laquelle se trouve la créature. Elle ressemble à une brume d'une dizaine de mètres de diamètres à la surface de laquelle émergent sans cesse les visages de ceux qui y furent absorbés. Le nuage n'est visible que par Auspex (ou Nécromancie), mais semble avoir une existence bien physique (en se traînant dans la grotte il laisse des traces sur le sol).
Les PJs se doutent qu'une telle créature ne peut être blessée que par des attaques faisant des dégâts aggravés. En plus des griffes d'Orphée (mordre là dedans n'étant pas aisé et peut être pas sans conséquence), ils se mettent donc en recherche de quoi créer du feu.
Présents : Cyril, Franky
Points d'expérience : 4 + 3
Date de début de partie : 10 février 1198
Date de fin : 9 mars 1198
Les PJs découvrent donc que :
- le Toréador Yevguen est mort (en appelant son fantôme - ce qui a permis de savoir qu'il est mort en sortant de la maison close de la Sétite Saphora)
- le Nosfératu Humbert a quitté la ville (il a visiblement fui les conflits qui s'annoncent)
- la Ravnos Guéralda est morte (d'après son fantôme elle a été emportée dans les airs par une créature aux ailes membraneuses).
Le prince leur annonce que son conseiller Zarak a également disparu. Il leur annonce également qu'il a eu des informations comme quoi Gabor le Bulgare serait parti de Constantinople voici quelques semaines, sans armée. Husayn al Fatin se serait-il trompé ? Mais bon, il peut toujours s'en constituer une assez rapidement ...
Lucinda essaye de contacter le fantôme de Zarak, en vain. Il n'a donc pas été détruit et est donc sans doutes détenu quelque part.
En allant enquêter chez lui ils découvrent dans sa cours un de ses bracelets (sur lequel Orphée peut lire la terreur), ainsi qu'un morceau de tissu (qu'Orphée identifie comme ayant appartenu à un des membres de la communauté des Bogomiles).
Au sein de son refuge ils découvrent également le brouillon d'une lettre ayant été rédigé par Zarak où il demande à Gabor de venir reprendre la ville et où il décrit les emplacements des refuges de plusieurs de ses membres éminents dont le prince et Béla Rusenko. Il s’apprêtait donc à livrer Sredets à son ancien prince.
Ils font leur rapport au prince qui les autorise à poursuivre leur enquête chez les Bogomiles, mais avec beaucoup de tact.
Ils rencontrent donc de nouveau Amalia de Thrace qui confirme la destruction de Yevguen qui n'a visiblement pas été sincère lorsqu'il fut amené devant elle et à qui il fut demandé de confesser ses pêchers. Il s'agissait, d'après ce qu'ils en apprennent, d'un être d'une extrême perversion.
Par contre elle n'a rien à voir avec la destruction de Guéralda ou la disparition de Zarak contre lesquels les Bogomiles n'ont pas d'éléments à charge et n'ont donc aucune raison de leur faire rencontrer la lumière et de délivrer leurs âmes.
Les PJs vont ensuite poursuivre leur enquête auprès des Furores à l'auberge des lames croisées. Les Furores leur annoncent qu'un autre des leurs à disparu : Sergueï, l'infant d'un voïvode Tzimisce qui a trouvé refuge à Sredets voici quelques années déjà. Lucinda essaye donc de contacter son fantôme, en vain. Ektor leur indique le refuge où il dort, un vieux moulin abandonné.
Sur place ils découvrent des cendres que la pluie a fait ruisseler d'une toiture. Orphée voit alors Sergueï emporté sur une toiture par une gargouille qui ensuite le diablerise (voilà pourquoi Lucinda n'est pas parvenue à contacter son fantôme). Les Tremeres, via Archenor, seraient-ils dans le coup ?
Alors qu'ils vont rendre compte de ces nouveaux éléments au prince Basilio, les PJs reçoivent deux nouveaux témoignages :
- Ilya, la Malkavienne, leur annonce qu'un de ses petits protégés a apperçu une telle créature ailée récemment
- Iulia, la Toréador harpiste, leur annonce qu'elle a également vu récemment une telle créature ailée, un démon d'après elle, qui se dirigeait vers le quartier juif (là où Archenor possède son refuge).
Le prince les autorise à aller interroger Archénor, avec là encore une fois beaucoup de tact, car il a peu d'alliés avec les troubles que Sredets connaît, et les Tremeres ne sont pas de trop.
Archénor les reçoit et admet les faits, félicitant les PJs pour leur intelligence. Il se justifie, en disant que Zarak était un traître, et que Sergueï était un espion de son Voïvode de sire. La destruction de Guéralda fut quand à elle un accident (elle avait découvert des choses qui l'ont mise dans l'embarras).
Archénor trouve donc un arrangement avec les PJs. Il fait venir un de ses apprentis qu'il accable de pratiques démoniaque tout en le transperçant de sa lame enflammée, puis il indique aux PJs où trouver la gargouille incriminée qu'ils détruisent aussi sec. Archénor a désormais une lourde dette envers les PJs.
Les PJs vont faire leur compte rendu au prince qui est plutôt soulagé que ce ne soit que l'acte d'un Tremere isolé et égaré, et non pas le fait d'Archénor qui est le représentant de son clan à Sredets.
C'est à ce moment là que Gabor le Bulgare, les deux Voïvodes Solimon Zagorov et Boleslaus Bratovitch, ainsi que quatre szlachtas font leur entrée dans le repaire du prince.
Le combat est rapide. Les PJs et Bela Rusenko parviennent à se débarrasser des deux Voïvodes et des quatre Szlachtas et Basilio finit par immobiliser Gabor dans ses tentacules d'ombres avant de le décapiter promptement.
Dehors des combats ont lieu. Ce sont les armées sécessionnistes qui essayent de prendre la ville. Les combats dureront trois jours et trois nuits durant lesquels les PJs prendront part à la bataille et aideront le prince Basilio, Béla Rusenko et quelques vampires de la cour à faire en sorte que la ville ne tombe pas. Ils y parviendront, et la ville de Sredets demeurera dans le giron de l'empire Byzantin.
Le prince remercie les PJs pour le travail effectué. Ils seront bien évidemment toujours les bienvenus à Sredets.
C'est alors que Nestor Giovanni leur indique qu'il possède une piste. Il leur explique qu'un certains Bartholomew, membre d'une lignée Lasombra et ami du clan Cappadocien (par l'intermédiaire de la branche des Giovannis) aurait en sa possession une relique : le sang de Zeernebooch, une divinité de la mort des pays germaniques.
Il leur dit également que celui-ci aurait disparu il y a 10 ans de celà alors qu'il faisait des recherches pour le compte des Giovannis dans les alentours de la ville de Provadia (en Bulgarie justement) à à peine 4 nuits de cheval de Sredets. C'est évidemment en plein cœur des pays Voïvodes, avec au nord la frontière la tristement célèbre Roumanie.
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Le voyage se passe sans encombres. Sur place ils sont confrontés à un Gangrel qui leur annonce que son maître, le Voïvode Luben Strahil les attend.
Celui-ci leur dit que Bartholomew avait passé outre son interdiction d'effectuer des fouilles sur son domaine et qu'il l'a donc punis. Il l'a transformé en statue.
Il autorise Lucinda à utiliser la Vicissitude pour lui redonner une forme normale. Il rajoute que les vents venus de l'ouest lui ont parlé d'elle. Il apprécie donc sa maîtrise de l'artisanat de la chair.
Bartholomew se révèle être en fait un Kyasid (sa blancheur en a fait un excellent matériau pour la créativité de Luben Strahil). Rendu un peu fou par l'expérience, Orphée utilise son Aliénation pour l'aider à rendre ses propos compréhensibles.
Il dit ne plus détenir le sang de Zeernebooch (il l'a cédé à son sire Marconius), mais que si les PJs le libèrent de l'emprise du Voïvode il peut leur indiquer où trouver une substance comparable à la relique.
Luben Strahil accepte de le laisser partir, non sans regret (c'était une oeuvre unique dans sa collection), en échange d'une dette d'Orphée et de Lucinda. Bartholomew acquiert donc une dette de vie envers les PJs.
Barholomew conduit donc les PJs jusqu'à Constantinople où ils passent une nuit de repos, puis jusque dans les environs de Césarée en Cappadoce (sur leur chemin ils croiseront une patrouille byzantine, puis une seljoukide, avec laquelle ils auront une petite altercation).
Barholomew leur explique qu'il devait à l'origine venir faire des recherches dans une ancienne cité souterraine nommée Kaymakli mais qu'il n'en a pas eu le temps, sont périple s'étant arrêté sur les terres d'un artiste Voïvode ...
La ville est tristement connue par les Cappadociens pour avoir été le tombeau de plusieurs milliers d'entre eux, jugés indignes par Cappadocius d'appartenir à son clan.
Il les y aurait enfermé, les laissant s’entre-dévorer, en scellant le lieu par une malédiction interdisant à tout vampire d'en sortir et à tout humain d'y entrer.
Batholomew dit qu'il pense avoir trouvé un souterrain qui leur permettra de ressortir de Kaymakli, un long souterrain de plus de 8 kms de long qui relirait Kaymakli à une autre ville souterraine voisine : Derinkuyu.
Ils poussent donc la lourde pierre ronde qui obstrue l'entrée de Kaymakli et qui se referme peu après leur passage.
En s'enfonçant dans les niveaux de la ville souterraine (qui comportait même une église - ce fut un lieu de refuge pour les premier chrétiens), ils découvrent des tas de poussière, des ossements et des corps momifiés de vampires qui ont succombé aux crocs de leurs frères de clan. Il y a également de nombreux fantômes, eux aussi piégés dans Kaymakli.
Les PJs découvrent également une crâne dans lequel s'est réfugié l'esprit d'un Cappadocien avant sa destruction.
Il leur demande de le sortir de Kaymakli en échange d'une information : dans les profondeurs de Kaymakli se trouve un esprit de colère, formé par les âmes de centaines de ses anciens frères de clan. Il pense qu'une fois cette créature détruite, les PJs pourraient en extraire ce qu'ils recherchent (et en plus cela détruirait cette horreur et rendrait sans doutes le repos à toutes ces âmes condamnées par Cappadocius).
Effectivement, tout en bas de Kaymakli ils découvrent une grotte en partie inondée dans laquelle se trouve la créature. Elle ressemble à une brume d'une dizaine de mètres de diamètres à la surface de laquelle émergent sans cesse les visages de ceux qui y furent absorbés. Le nuage n'est visible que par Auspex (ou Nécromancie), mais semble avoir une existence bien physique (en se traînant dans la grotte il laisse des traces sur le sol).
Les PJs se doutent qu'une telle créature ne peut être blessée que par des attaques faisant des dégâts aggravés. En plus des griffes d'Orphée (mordre là dedans n'étant pas aisé et peut être pas sans conséquence), ils se mettent donc en recherche de quoi créer du feu.
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